dimanche 16 mai 2021

15 mai 1815 : début de la guerre de Vendée de 1815. Même à l’apogée de l’Empire, l’Ouest est remuant, du moins y sévit-il une sorte de désobéissan

 


💕💕Guerra de la Vendée

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Guerre de Vendée
Guerra de la Vandea
Parte de Guerras Revolucionarias Francesas
GuerreVendée 1.jpg
Henri de La Rochejaquelein en la batalla de Cholet, el 17 de octubre de 1793.
Fecha3 de marzo de 1793-5 de marzo de 1795
24 de junio de 1795-29 de marzo de 17961
(nuevas rebeliones entre 15 de octubre de 1799-18 de enero de 1800,2​ 22 de mayo-22 de junio de 18151​ 23 de mayo-15 de junio de 1832)2
LugarPrincipalmente el oeste de FranciaVendée, norte de Deux-Sèvres (Poitou), sur de Maine y Loira (Condado de Anjou) y sur de Loira Atlántico (Bretaña)
ResultadoVictoria republicana
Beligerantes
Flag of France.svg Primera República FrancesaDrapeau armée vendéenne 2.jpg Vandeanos
Royal Standard of King Louis XIV.svg Chuanes
Flag of Royalist France.svg Emigrés (emigrados)
Flag of Great Britain (1707-1800).svg Reino de Gran Bretaña
Comandantes
Jean Baptiste Camille de Canclaux
Jean-François Berruyer
Armand Louis de Gontaut-Biron †
Jean Léchelle †
Alexis Chalbos
Jean Antoine Rossignol
François Séverin Marceau
Jean Baptiste Kléber
Louis Marie Turreau
Alexandre Dumas
Lazare Hoche
Jean-Michel Beysser †
Jean-Baptiste Annibal Aubert du Bayet
Michel de Beaupuy
François-Joseph Westermann
Nicolas Haxo †
Antoine Joseph Santerre
Charles Philippe Ronsin
Louis Michel Auguste Thévenet
Jean-Pierre Travot
Jacques Cathelineau †
Maurice Joseph Louis Gigost d'Elbée †
Henri de La Rochejaquelein †
François-Athanase Charette de La Contrie †
Jean-Nicolas Stofflet †
Charles Melchior Artus de Bonchamps †
Louis Marie de Lescure †
Charles Augustin de Royrand †
Antoine-Philippe de La Trémoïlle †
Guy Joseph de Donnissan †
Jacques Nicolas Fleuriot de La Fleuriais
Henri Forestier
Gaspard de Bernard de Marigny †
François de Lyrot †
Charles Sapinaud de La Rairie
Charles Marie de Beaumont d'Autichamp
Pierre Constant de Suzannet †
Fuerzas en combate
Movilizados 130.000-150.000350.000 (febrero de 1793)4
65.000 (octubre de 1793)1
Bajas
30.000 militares muertos35130.000 civiles y militares muertos3
Habitantes de la Vandea: aproximadamente 170.000 muertos en total (75-80% monárquicos y 20-25% republicanos).36
En total, unos 170.000-200.000 muertos.7

Guerra de la Vendée es la denominación historiográfica de una rebelión que llegó a convertirse en una verdadera guerra civil que enfrentó a los partidarios de la Revolución francesa y a los contrarrevolucionarios. Se desarrolló en la región francesa de Vendée en español-[entre 1793 y 1796. La denominación en idioma español Guerra de Vandea no se usa apenas en la bliografía.8​ La denominación francesa es Guerre de Vendée.

Al igual que había sucedido por toda Francia, Vandea tuvo rebeliones campesinas (jacqueries) entre 1789 y 1792. Sin embargo, fue en el momento de la leva masiva (levée en masse) de 1793, cuando la rebelión vandeana se desencadenó, y acabó adoptando la forma de un movimiento popular contrarrevolucionario.

Desarrollada a lo largo de tres años, el conflicto tuvo varias fases, con un breve periodo de paz que empezó en la primavera de 1795 y finalizó a principios de 1796..----- Le15 mai 1815 : début de la guerre de Vendée de 1815. Même à l’apogée de l’Empire, l’Ouest est remuant, du moins y sévit-il une sorte de désobéissance endémique qui révèle que l’ordre impérial n’y est pas pleinement accepté. Un seuil est franchi à la fin de l’année 1813, dans le contexte de l’affaiblissement du régime, lorsque la désobéissance se mue en contestation politique. Mais l’histoire aussitôt s’accélère. Arrive d’abord la Première Restauration, au printemps 1814, dont le projet réconciliateur déçoit – déjà – les royalistes et fait basculer certains d’entre eux dans l’ultracisme. Puis les Cent-Jours, en mars 1815. En vérité, le retour de Napoléon ne pousse pas aussitôt à la révolte ; c’est un mois plus tard que la décision prise par le pouvoir impérial de procéder à une levée en masse de gardes nationaux mobiles se met à catalyser le potentiel insurrectionnel de la région. Le conflit éclate à la mi-mai. Son périmètre est un peu plus restreint que celui du soulèvement de 1793. Il se compose d’une zone bretonne centrée sur le Morbihan et d’une zone vendéenne qui jamais ne feront corps. L’organisation militaire des forces royalistes, évaluées par l’auteur à quelque 50 000 hommes, rappelle, elle aussi, 93 : au sud de la Loire, elle s’appuie, comme vingt ans plus tôt, sur le réseau des paroisses armées, preuve, au passage, que celles-ci ne se sont pas délitées pendant la pax napoleonica. Sur le terrain, toutefois, la situation n’a rien à voir avec celle de la décennie révolutionnaire : moins enclavée, la Vendée se prête moins à la guérilla ; surtout, le rapport de force apparaît d’emblée défavorable aux Blancs, affaiblis au sommet par le déficit de légitimité de Louis de La Rochejaquelein et à la base par le sous-équipement, et qui, par ailleurs, trouvent en face d’eux une armée de la Loire aguerrie et disciplinée, placée sous les ordres du général Lamarque. Aussi bien, l’affrontement tourne-t-il vite au profit des Impériaux, qui emportent quelques batailles décisives, comme à La Rocheservière, le 20 juin, où La Rochejaquelein est tué, et Lamarque peut-il pousser les Vendéens à la paix. Celle-ci est conclue le 26 juin à Cholet mais peine à se concrétiser en Bretagne, où le conflit tend plutôt à se fragmenter et à se brouiller. Mais, à cette date, le sort de l’Europe a basculé depuis une semaine, depuis que Napoléon a été défait à Waterloo : la grande histoire rattrape soudain celle de l’Ouest français et transforme providentiellement les quasi-vaincus en vainqueurs. A. Lignereux avance qu’il a fallu trois années pour vraiment liquider le conflit. Ici comme ailleurs, l’épuration de l’administration permet de récompenser les plus zélés des royalistes, en particulier les combattants, qui entrent en masse dans la gendarmerie, notamment ; mais pour l’essentiel et sur le long terme, on peut dire que comme l’année précédente le nouveau pouvoir déçoit les Blancs, entièrement préoccupé qu’il est de pacifier le pays et de normaliser son fonctionnement. Ainsi s’empresse-t-il de mettre un terme à l’activité des corps royaux, de désarmer la population, ainsi essaie-t-il de dissoudre la tradition d’autodéfense paroissiale propre à la Vendée dans la Garde nationale, plusieurs fois réformée à cet effet. Ce que, passé les premiers mois, Louis XVIII a en vue, c’est à défaut d’une impossible concorde, amener au moins les ennemis de la veille à vivre de nouveau côte à côte et c’est dans cette perspective qu’il convient de comprendre les refus répétés de la justice royale de donner suite aux plaintes formées en raison des actes commis pendant le soulèvement. Il s’ensuit d’inévitables frustrations au sein du camp blanc et même quelques actes d’opposition au régime jusqu’à la fin de la décennie, mais le travail de démobilisation fait son œuvre et A. Lignereux peut conclure qu’en 1818 « la Vendée appartient.-



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